Montag, 18. Oktober 2010

Korzybski on after-life bliss (extract from Science and Sanity)

[This is an extract from "Science and Sanity", Chapter XIX, pp. 309-310. Note that Korzybski makes statements about «after-life» and «extraordinary bliss» in general. As far as I know, he does not mention Islam even once in his book.]

The so-called ‘sane’ also have structural premises; we all have some standards of evaluation. These are also usually false, or, in general, inappropriate, being mostly due to our savage inheritance. But the saner we are, the less we abide by them. Therefore, in a world quite different structurally from our fancies, we are often able to adjust ourselves for all practical purposes, often avoiding major disasters for a number of years.

For instance, the believers in extraordinary blisses in the ‘other life’ or the ‘other world’ should welcome death. Why be so unhappy here, when, according to their doctrines, there is such an ideally happy future after death ? Why make use of medicine and doctors, when a deadly illness should open the door to everlasting bliss ! In conflict with such a creed, he lives as long as he can, often most unhappily, and is generally willing to spend fortunes on doctors and medicines to delay the bliss ! The genuine and very serious danger to all of us of such creeds is that when the s.r [semantic reactions] of an individual are trained in this way he finally does become indifferent, or apathetic toward actualities in this world, so that cunning, and often pathological, individuals are thus given an opportunity of directing human affairs toward their personal ends.

Naturally, with the increase of the complexities of conditions, the dangers also increase in a geometrical ratio, because when m.o [multiordinal] realities become too unbearable, the masses cease to be influenced by these semantic illusions, and they break all barriers, only to fall again under the influence of new leaders very often equally irresponsible and ignorant.

Unfortunately, the failure to understand these semantic issues, based on animalistic lack of foresight, results invariably in a great deal of unnecessary suffering. There is little doubt that without these delusions and illusions we should look after the conditions of our actual lives more closely, and many of our pressing needs would be adjusted. The difficulties which we have are mostly man-made, and so only mankind can remedy them, and any attempts to escape from m.o [multiordinal] reality only aggravate the situation.

Traduction française

[Ceci est un extrait de "Science and Sanity", Chapitre XIX, pp. 309-310. Notez que Korzybski parle de l'«au-delà» et de la «béatitude éternelle» en général. Pour autant que je sache, il ne mentionne pas une seule fois l'Islam dans son livre.]

Les soi-disant «personnes saines» font également des suppositions structurelles ; nous avons tous certaines normes d'évaluation. Provenant principalement de notre héritage sauvage, ces suppositions sont généralement fausses, ou, en général, inappropriées. Plus nous sommes sains, moins nous nous conformons à ces suppositions. En conséquent, dans un monde très différent structurellement de notre imagination, nous sommes souvent en mesure de nous adapter à toutes fins pratiques, évitant souvent des catastrophes majeures pendant de nombreuses années.

Par exemple, les croyants en une béatitude extraordinaire dans l'«autre vie» ou l'«autre monde» devraient accueillir la mort avec satisfaction. Pourquoi être si malheureux ici, quand, d'après leurs doctrines, un tel avenir heureux et idéal les attend après leur mort ? Pourquoi faire usage de la médecine et des médecins, quand une maladie mortelle devrait ouvrir la porte à la béatitude éternelle ! En conflit avec une telle croyance, ils vivent aussi longtemps qu'il le peuvent, malheureusement, souvent plus, et sont généralement disposés à dépenser des fortunes pour des médecins et des médicaments pour retarder le bonheur ! Pour nous tous, le danger réel et très grave des croyances est que, lorsque les réactions sémantiques d'un individu sont formées de cette manière, il devient finalement indifférent, ou apathique envers les réalités de ce monde, de sorte que des individus rusés, et souvent pathologiques, ont ainsi l'occasion de diriger les affaires humaines vers leurs fins personnelles.

Naturellement, avec la complexité croissante de nos conditions de vie, les dangers augmentent également dans un rapport géométrique, parce que lorsque les réalités multiordinales sont devenues trop insupportables, les masses cessent d'être influencées par ces illusions sémantiques, et brisent toutes les barrières, pour tomber à nouveau sous l'influence des nouveaux dirigeants, très souvent tout aussi irresponsables et ignorants que les précédents.

Malheureusement, l'absence animale de prospective rend incapable de comprendre ces questions de sémantique, d'où beaucoup de souffrances inutiles. Il ne fait aucun doute que sans ces illusions, nous examinerions nos conditions de vie réelles de bien plus près, adaptant ainsi beaucoup de nos besoins les plus pressants. Nos difficultés sont pour la pluspart d'origine humaine, et donc seule l'humanité peut remédier à ces difficulté ; toute tentative de fuire la réalité multiordinale ne peut qu'aggraver la situation.

La justice ne doit pas se faire servante de la Charia (traduction française)

Traduction française d'un article du site Gates of Vienna

Jeudi 16 septembre 2010.

Nous avons signalé précédemment la procédure en cours contre notre correspondante autrichienne Elisabeth Sabaditsch-Wolff. Le post le plus récent présentait un rapport de CBN news à son sujet (les liens vers les articles précédents sont au bas du présent post).

Ces dix derniers mois, Mme Sabaditsch-Wolff a été menacée par une possible mise en accusation formelle basée sur ce qu'elle a dit en novembre 2009, à un séminaire qu'elle a donné sur l'Islam. Elle a attendu l'aboutissement de cette menace, et maintenant il semble que le talon aiguille rouge en cuir verni de la "justice" autrichienne ait finalement cogné contre le sol.

Il s'agit en fait d'une parodie de justice, car Mme Sabaditsch-Wolff n'a pas appris l'accusation portée contre elle par le biais d'un document judiciaire.

Elle n'a reçu aucune convocation officielle.

Rien n'a été communiqué à son avocat.

Ainsi vont les choses dans l'Autriche moderne et multiculturelle. Comme d'usage dans l'Etat corrompu soft-totalitaire connu sous le nom d'"Union européenne", elle a appris l'accusation officielle par les médias autrichiens.

Voici ce qu'elle m'a dit dans un courriel:

Je viens d'avoir eu une longue conversation avec mon avocat. Mon avocat a essayé d'obtenir les documents détaillant mon cas et les charges d'accusation. En vain. Le procureur a cité des "problèmes informatiques", le commis a mentionné une note dans mon dossier, selon laquelle rien ne doit être rendu publique (je me demande pourquoi les médias étaient au courant à l'époque), et il a été promené de greffier en greffier, pour enfin ne rien obtenir. Jusqu'à présent, nous savons que je vais être jugée, mais rien d'autre.

Je n'ai rien du tout entre mes mains. Je ne peux pas me défendre à l'heure actuelle parce que ni mon avocat ni moi ne connaissons les charges précises.

Cela me fait douter de notre système judiciaire. Il est scandaleux que les médias allemands et autrichiens aient été au courant de cette affaire avant l'accusée.

Voici un article paru hier dans Die Presse:

Séminaire Islam du FPÖ: Une conférencière doit aller au tribunal

Un séminaire de l'Institut d'Éducation Libre (FBI) auraient été l'occasion de déclarations islamophobes. La conférencière est maintenant accusée d'incitation à la haine.

Un séminaire sur l'Islam tenu à l'Institut d'Education Libre (FBI) a maintenant des conséquences juridiques. La conférencière aurait fait des déclarations islamophobes dans le séminaire de l'automne 2009. Le procureur du tribunal régional de Vienne a donc déposé une plainte pénale pour incitation à la haine, comme la revue "News" l'annonçait mercredi dans un rapport préliminaire. Si la conférencière est reconnue coupable, elle encourt jusqu'à trois ans de prison.

Klaus Nittmann, le directeur du FBI, veut "bien sûr" continuer à employer cette femme, comme il l'a souligné récemment. Il s'est référé à la présomption d'innocence, et s'est montré convaincu qu'il n'y a pas eu d'infraction d'incitation à la haine.

"La justice ne doit pas se faire servante de la Charia"

Nittmann dénonce une "chasse aux sorcières" contre les femmes instruites: "La justice doit bien faire attention à ne pas se rendre servante de la Charia. Il est inquiétant que les femmes qui ont la crainte justifiée de l'islam, et s'exprime de façon critique, soient alors envoyées au tribunal." La direction du parti libéral n'a émis aucune opinion sur l'affaire.

Entre autres, la conférencière aurait dit lors du séminaire: "L'Islam est hostile, le Coran est méchant." et "lorsque des Cardinaux violent des enfants, ils le font à l'encontre de la religion. Les religieux musulmans violent des enfants en raison de la religion.

Voici la déposition faite par Mme Sabaditsch-Wolff en réponse aux accusations portées contre elle en novembre 2009. Sa déposition a été faite le 27 avril 2010, auprès de l'Office pour la Protection de la Constitution et la Prévention du Terrorisme. Dans le texte ci-dessous, CDH est l'acronyme de "Convention des Droits de l'Homme", et CEDH est l'acronyme de la Cour Européenne des Droits de l'Homme. [NDT Déposition traduite directement de l'Allemand au Français.]

L'accusée fait la déposition suivante en ce qui concerne l'accusation portée par la revue illustrée "NEWS":

I. Fondamentaux du droit fondamental à la liberté d'expression (Art. 10 de la CDH)

Liberté d'expression

(1) Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontière. Le présent article n'empêche pas les Etats de soumettre les entreprises de radiodiffusion, de cinéma ou de télévision à un régime d'autorisations.

(2) L'exercice de ces libertés comportant des devoirs et des responsabilités peut être soumis à certaines formalités, conditions, restrictions ou sanctions prévues par la loi, qui constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité nationale, à l'intégrité territoriale ou à la sûreté publique, à la défense de l'ordre et à la prévention du crime, à la protection de la santé ou de la morale, à la protection de la réputation ou des droits d'autrui, pour empêcher la divulgation d'informations confidentielles ou pour garantir l'autorité et l'impartialité du pouvoir judiciaire.

[NDT: Le reste de cette partie I contient de très nombreuses références à des textes officiels, pour chacune des phrases. J'ai enlevé ces références par souci de lisibilité, mais elles sont disponibles sur demande.]

La CEDH considère la liberté d'expression comme l'un des fondements essentiels d'une société démocratique et l'une des conditions primordiales de son progrès, ainsi que de du développement de chaque personne. Le liberté d'expression est garantie à chacun ; et cela ne fait donc pas de différence que des intérêts commerciaux soient concernés ou non.

Le sens de la CDH n'est pas dans la garantie de droits théoriques ou illusoires, mais d'une nature pratique et applicable.

En conséquence, la liberté d'expression ne trouve pas seulement une application aux "informations" ou "idées", qui sont reçues favorablement, ou sont considérées comme non offensantes ou indifférentes, mais aussi à celles qui blessent, choquent ou dérangent l'État ou quelque partie de la société. C'est pourquoi l'Article 10 de la CDH protège non seulement le contenu des idées et informations exprimées, mais aussi la forme sous laquelle elles sont communiquées.

L'adjectif «nécessaire» à l'article 10, paragraphe 2 de la CDH exprime un besoin impérieux de la société. Les exceptions mentionnées dans l'article 10 paragraphe 2 de la CDH sont à interpréter de façon plutôt stricte ; ce besoin est détaché de l'opinion publique, réelle ou perçue, qu'il faut examiner à un niveau objectif ("reasonable judgement"). En particulier, toute "législation formelle", "condition", "restriction", ou "sanction" qui pénètre dans cette sphère doit absolument être proportionnée au but légitime poursuivi. La CEDH examine de façon particulièrement rigoureuse les condamnations à des sanctions.

Il n'y a ainsi que des possibilités limitées de restreindre des déclarations ou discussions publiques.

Comme indiqué ci-dessus, la liberté d'expression permet aussi de soumettre à une critique avancée l'État ou ses représentants, de même que d'autres personnes publiques. Comme les communautés religieuses ont valeurs d'institutions publiques, elles doivent, elles aussi, accepter une telle critique.

Il est essentiel de ne permettre une restriction de la liberté d'expression par l'État que lorsque c'est "nécessaire" dans une société démocratique au sens de l'article 10, paragraphe 2 de la CDH. Le "fardeau de la preuve" incombe à l'État. Si la nécessité de restreindre la liberté d'expression doit être prouvée, par contre, la nécessité de s'être exprimé, et le choix de la forme d'expression, n'ont pas besoin d'être justifiées. En d'autres termes, à l'exception de la violation des droits fondamentaux définis par le paragraphe 2, aucune exigence de proportionnalité ne s'applique au domaine défini par l'Article 10 Paragraphe 1 de la CDH (Holoubek, la liberté d'expression et Tolérance - des difficultés d'une responsabilité partagée entre l'État et la société pour un accord raisonnable avec l'autre, JRP 2006, 84 [85]).

Se basant sur l'article 10 de la CDH, les instances de Strasbourg ont considéré comme protégée par le droit fondamental, l'expression d'opinions bien plus agressives que celles émises par l'accusée (voir la CEDH 14. 7. 1980 8282/78 = DR 21, 109, où il s'agissait de reproches envers la Scientologie, selon lesquels il n'y aurait pas plus "mensongère" que cette communauté de foi, qui serait un "choléra de la vie spirituelle".

Il est d'autre part essentiel, conformément à l'article 10, paragraphe 1 de la CDH, que la communication de la véritable réalité des faits soit permise sans restriction. Il en est autrement, seulement dans le domaine de la "Protection contre les indiscrétions" (protection de la vie privée, etc.), domaine qui n'est ici pas concerné (par exemple, Berka, "Les médias et la protection des personnes" [1982] pages 232 et suivantes).

II. Les faits de l'affaire

L'accusée est la fille d'un diplomate à la retraite. Elle a vécu la prise de pouvoir de Khomeiny en Iran, et a vécu plus tard en Irak et au Koweït. Elle a été détenue en otage avec d'autres Autrichiens lors de l'invasion du Koweït par les troupes irakiennes en 1990. Elle a vécu et travaillé en Irak et en Libye en tant que membre du personnel de l'ambassade d'Autriche. De 1995 à 1997, elle était dans le cabinet de l'ancien vice-chancelier Wolfgang Schüssel. Elle est actuellement active au niveau international pour le " Mouvement des Citoyens Pax Europa" de l'Allemand Willi Schwendt, critique de l'Islam.

L'accusée se sent attachée à ces valeurs présentes dans les démocraties occidentales. En particulier, ces valeurs comprennent l'égalité des sexes et la lutte contre toutes les tendances religieuses et politiques radicales, et axées sur la violence.

Le séminaire dont il est question ici est l'un parmi de nombreux séminaires critiquant l'Islam. Ce séminaire fut annoncé de la façon suivante :

But du séminaire

Pouvons-nous encore être sauvés ? La fausse tolérance, fossoyeuse de l'Occident.

Nos contemporains "politiquement corrects", dont les termes «patrie, tradition, culture ancestrale» nous préparent des atrocités, sont prompts à reprocher aux critiques de l'Islam d'abuser de la liberté d'expression. «Dans le doute, pour la liberté d'opinion» pourrait-on répondre, aussi, que la liberté de religion a une double signification : liberté de choisir une religion, mais aussi liberté de ne pas avoir de religion ; c'est pourquoi des limites doivent être définies. Posons des limites à la liberté de religion ! En particulier, lorsque celle-ci produit des milieux, dans lesquels des notions élémentaires d'égalité de droits entre hommes et femmes sont abrogées, ou plutôt piétinées. Ce n'est pas pour rien que toutes les constitutions éclairées et libres séparent l'Eglise et l'Etat. Vous apprendrez ici ce que vous n'avez pas encore appris dans les deux autres modules.

Contenu du séminaire

  • L'Islam et l'(in)transigeance envers la société occidentale.
  • Le statut de "Dhimmi" - l'attitude face aux infidèles.
  • L'Islam en Autriche - développement historique, reconnaissance, enseignement religieux, intégration, mosquées.
  • Les femmes et leurs droits : la femme dans l'Islam (image de la femme, sexualité, excision, mariage forcé, polygamie, les relations homme-femme.
  • Le voile, discrimination et signal politique.
  • La charia en Europe.
  • Des arguments pour les fonctionnaires.

Des séminaires semblables sont proposés par de nombreux organismes de formation politique, dont l'académie politique du parti autrichien ÖVP.

Preuve : Annonce d'une rencontre de l'académie politique de l'ÖVP (Appendice ./1)

Concernant chaque déclaration faite par l'accusée :

«L'islam est hostile.»

C'est un truisme de dire que l'Islam sème la violence. Les cas les plus spectaculaires des dernières années ont été l'attentat du 11/09/2001 à New York et les attentats de Madrid le 11/04/2004 et de Londres le 07/07/2005. Mais ce ne sont que trois exemples de milliers d'actes de violence motivés par l'Islam ces dernières années, comme le prévoit de façon si précise le Coran - voir sourate 2, 216: «Il est décrété que vous vous battez contre les infidèles, même si cela peut vous sembler odieux.»

Il y a plus de 200 appels à la violence (!) dans le Coran: (Comme autres exemples, voir par exemple, les sourates 9,74; 4,95; 8,12.). Un exemple particulièrement triste, c'est l'assassinat de l'homme d'affaires américain, Nicholas Berg Evan, qui a été kidnappé et assassiné par des musulmans en Irak en 2004. Son assassinat - filmé et diffusé par la suite via l'Internet et la télévision islamiques - a été particulièrement répugnant. Il a été décapité en vie avec un couteau. Au cours de cet acte honteux, les auteurs masqués lisèrent à voix haute la sourate 8, 12: «Frappez l'infidèle à son cou avec votre épée».

«L'islam est méchant et les musulmans sont perpétuellement en guerre contre nous.»

Cette déclaration ne fait que reprendre un thème constant du Coran, par exemple, la sourate 4,76: «Ceux qui sont croyants luttent contre ceux qui sont infidèles à cause des idoles. Luttez maintenant contre les amis de Satan !»

«Et ils sont très bons pour nous endormir.»

La sourate 3, 54 dit: «Et ils ont élaboré une ruse et Allah a conçu une ruse, et Allah est le meilleur artisan de ruses.» Ce verset est le fondement de la soi-disante "taqiyya" - la tromperie des infidèles, commandée par le Coran et largement diffusé dans l'Islam.

«Et le but ultime des musulmans est que le monde entier se convertisse à l'Islam.»

La sourate 5, 44, dit: «Ceux qui ne vivent pas selon ce qu'Allah nous a donné, ils sont des infidèles.»

Le contenu de ces sourates prévoit de mener le Djihad ("guerre sainte") pour atteindre l'objectif ultime de l'Islam, qui est d'établir une domination islamique dans le monde entier.

L'islam n'est pas seulement une religion, mais aussi une forme de gouvernement.

Preuve: http://www.wienerzeitung.at/DesktopDefault.aspx?TabID=3902&Alias=wzo&cob=334929 (Appendice ./2)

Mark A. Gabriel - qui est le pseudonyme d'un ex-professeur d'histoire islamique à l'Université Al-Azhar au Caire, qui s'est converti au christianisme en 1993 - examine à la page 59 de son livre, "L'islam et le terrorisme", ce que le Coran veut dire dans les sourates 8, 39 et 9, 5: «Et battez-vous contre eux jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de guerre civile et que tout le monde croie en Allah», «Et quand les mois sacrés seront passés, tuez les païens partout où vous les trouverez. Saississez-les, entourez-les et tendez-leurs des embuscades partout.»

«Le Coran dit que tous ceux qui ne croient pas en Allah doivent être tués.»

Pour les personnes qui ont accepté l'Islam, la foi et la loi de l'Islam en tant qu'expression de la volonté de Dieu, constituent le centre de leur vie. La foi détermine toutes les autres dimensions de la vie et de l'action, donne à leurs travaux substance et valeus. L'incrédulité est le plus grand péché ; elle rend les travaux de la personne non-croyante sans valeur et négligeables.

De même, le Coran juge et condamne la perte de la foi et l'apostat avec la plus grande sévérité: «Leur repentance ne sera pas acceptée. La malédiction combinée de Dieu, des anges et l'humanité tombera sur eux, et s'ils meurent dans cet état, ils passeront l'éternité en enfer.»

Voici un exemple du livre, "L'islam et le terrorisme" pages 38 et suivantes: Mark Gabriel rapporte des évènement qui se produisirent après qu'il ait laissé son père savoir qu'il s'était converti au christianisme - son père a réagi complètement en accord avec les enseignements islamiques. «Avec une voix rendue rauque par la rage, il s'écria : " Votre frère s'est converti ! Je dois le tuer avant la fin du jour !" A sa fille, il dit : "Ton frère s'est converti. Il est tombé loin de la foi. Je dois le tuer immédiatement."»

Preuve : http://www.derprophet.info/inhalt/abfall-vom-glauben.htm (Appendice ./3)

«Les musulmans tuent à cause de leur religion.»

Il existe d'innombrables sourates du Coran qui exhortent à tuer:

La sourate 2, 178, dit: "Vous fidèles! Lors d'une mise à mort, la représaille est nécessaire : un homme libre pour un homme libre, un esclave pour un esclave et une femme pour une femme.

En outre, les sourates suivantes:

Sourate 2191: «Et tuez-les (c'est-à-dire, les opposants infidèles) partout où vous les trouverez et chassez-les d'où ils vous ont chassés.»

Sourate 2.193: «Et battez-vous contre eux jusqu'à ce que plus personne ne cherche à séduire (les croyants dans l'apostasie de l'Islam) et qu'Allah soit vénéré.»

Sourate 2, 216: «Vous devez vous battre contre les infidèles même si cela vous est odieux.»

En général, le Coran contient un grand nombre de sourates qui contiennent des violations des droits fondamentaux les plus basiques, ainsi que des droits de chaque société démocratique et pluraliste, exhortant ouvertement à l'assassinat, au massacre, à la démagogie, la diffamation des autres fois, à la mutilation, et à la violence sur femmes et enfants. A cela s'ajoute les faits que l'effraction de domicile et le vol - violations de l'égalité et les droits personnels - sont approuvées, et que la liberté de conscience est refusée.

L'appel au combat contre les infidèles est un thème dominant dans le Coran. Voir, par exemple, les sourates suivantes:

Sourate 2, 244: «Et combattez pour la volonté d'Allah.»

Sourate 4, 74: «Et si quelqu'un se bat pour l'amour d'Allah, et qu'il est tué ou qu'il est victorieux, nous allons le récompenser avec force (dans l'au-delà)»

Sourate 4, 76; «Ceux qui croient combattent pour l'amour d'Allah, ceux qui ne croient pas se battent pour l'amour des idoles. Luttez contre les amis de Satan.»

Sourate 4, 104: «Et ne faillissez pas dans votre volonté de rechercher l'ennemi et de lui offrir la bataille.»

Sourate 9, 111: «Maintenant, ils (les fidèles) doivent se battre contre la volonté d'Allah et tuer ou être tués.»

Sourate 47,35: «Ne faiblissez pas (dans votre désir de combattre) et n'offrez pas la paix à l'ennemi (trop tôt) si vous pouvez (à terme) avoir le dessus.»

Sur ce point, Mark Gabriel cite Omar Abd ar-Rahman - l'un des cerveaux de l'attentat à la bombe sur le World Trade Center à New York en 1993 - à la p.44 de son livre précité: «Il y a une sourate entière qui est appelée 'le pillage de la guerre'. Il n'y a aucune sourate appelée 'paix'. Djihad et meurtre sont là tête de l'Islam. Retirez-les et vous décapitez l'Islam.»

Preuve: Plusieurs exemples concrets d'assassinats et d'appels à l'assassinat à l'encontre de critiques de l'islam:

Partant de cela, aucune possession n'est si précieuse pour les musulmans qu'elle ne puisse être tuée ou détruite par l'intolérance musulmane.

«On apprend à ne faire confiance à aucun musulman parce qu'ils nous mentent tous les jours. C'est leur devoir religieux.»

Cette observation est basée sur la sourate 3, 54: «Et ils ont créé une ruse et Allah a créé une ruse, et Allah est le meilleur à créer la tromperie.»

Cette sourate est la base de l'exigence de tromper les infidèles (taqiyya).

Preuve: http://islamineurope.blogspot.com/2009/03/netherlands-ramadan-unmasked.html (Appendice ./10); http://barenakedislam.wordpress.com/2009/04/09/muslim-lies-learn-how-to-recognize-taqiyya-islamique-art-of-deception/ (Appendice ./11)

«Un des plus grands problèmes d'aujourd'hui est que la loi suprême des musulmans soit de vivre exactement comme Mohammed a vécu.»

Le Coran définit comment l'on doit vivre. Il est établi dans ses sourates que Mohammed doit être la mesure de toutes choses, le grand modèle. Le musulman croyant peut et doit être comme lui. Cela donne lieu à un immense scénario de conflit et de danger, surtout si vous - comme l'accusée - représentez les valeurs occidentales.

Preuve: http://www.pi-news.net/2008/04/kizilkaya-mohammed-ist-vorbild-fuer-jeden-muslim/ (Appendice ./12)

«Et il aimait faire quelque chose avec les enfants.»

L'un des crimes les plus répugnant de l'humanité est la violence sexuelle et le viol des enfants et des mineurs.

D'innombrables organisations s'occupent non seulement des droits des enfants, mais cherchent aussi à les protéger contre la violence et les abus sexuels - ainsi naturellement tous les partis politiques.

La plupart des politiciens négligent le fait qu'un abus qui est approuvé, même commandé sur une base supra-politique - à savoir religieuse -, en particulier pour les fanatiques insensés, est, pour ainsi dire, au-dessus de la loi en vigueur dans chaque Etat, puisque le Coran est le seul guide moral des vagues d'immigrants qui sont en grande partie non-européenns, non formés par la civilisation occidentale, voire même incapables de parler la langue locale. (Voir aussi la justification perverse qu'Aisha, donnée à Mohammed comme une épouse, n'avait pas 6, mais 9 ans (!). Cette justification illustre l'immense sentiment de culpabilité des musulmans croyants).

Preuve: http://muslimwelt.wordpress.com/2007/12/28/war-der-prophet-ein-kinderschander/ (Appendice ./13)

Aicha (la bénédiction d'Allah soit sur elle) rapporta : le Messager d'Allah, la paix et la bénédiction d'Allah soient sur lui, entreprit de se marier avec moi lorsque j'avais six ans, et eu une relation conjugale avec moi lorsque j'avais neuf ans. Nous allâmes à Médine. Là-bas, je fus fiévreuse pendant un mois, et mes cheveux poussèrent jusqu'à atteindre les lobes de mes oreilles. Umm Roman vint à moi alors que je me trouvais sur une balançoire avec mes compagnes de jeu. Elle m'appela à haute voix. J'allai donc à elle, mais ne savais pas ce qu'elle me voulait. Elle prit ma main, me laissant ainsi debout sur le pas de la porte. Je dis : «Ha, ha», comme si j'étouffais. Elle m'emmena dans une maison, où quelques femmes d'Ansar étaient rassemblées. Elles m'offrirent leurs bénédictions, et me souhaitairent bonne chance. Elle (Umm Roman) me laissa à ces femmes. Elle lavèrent ma tête et me parèrent de bijoux. Rien ne me fit peur, excepté lorsque le Messager d'Allah, la paix et la bénédiction d'Allah soient sur lui, vint le lendemain, et que je lui fut remise.

Numéro de la Hadith chez les musulmans Chiites [seulement en Arabe]: 2547 (http://hadith.al-islam.com/bayan/display.asp?Lang=ger&ID=806)

Tandis que l'Eglise catholique s'efforce de combattre la pédophilie dans ses rangs, les leaders musulmans de la foi islamique, en particulier au Proche et Moyen-Orient, refusent systématiquement de reconnaître la pédophilie comme un problème.

L'incompatibilité avec les valeurs de la civilisation occidentale est aussi visible, et de façon impressionnante, dans les faits énoncés aux liens suivants :

Preuve :

«Le "Kit de la femme au foyer pour résister à l'islamisation", une introduction à la haine?»

Il faut d'abord remarquer que cette phrase provient de la journaliste de chez NEWS. L'accusée n'a pas prononcé cette phrase.

L'article mentionné se trouve sur un site Internet démocratique, et doit, concernant les discussions sur l'Islam, permettre d'éclairer ceux qui agissent pour un futur pacifique de l'Europe, pour la protection des valeurs occidentales acquises au fil des millénaires au prix de nombreuses guerres et de beaucoup de sang versé, et qui s'intéressent à la coexistence pacifique des générations à venir.

Preuve : http://missioneuropakmartell.wordpress.com/2009/06/03/the-housewife%E2%80%99s-kit/ (Appendice ./19)

L'organisation "Mission Europe Réseau Charles Martel" s'efforce de contribuer à la protection des fondements de la culture et de la civilisation européennes, qui se sont construites au fil des millénaires, contre les influences destructives.

Le différents meurtres politico-religieux montrent à quel point l'Islam est dangereux, et à quel point l'on doit se protéger de cette "foi" (voir plus haut : «Les musulmans tuent à cause de leur religion»).

«Postez sur Internet des articles anti-islamiques»

Cette citation provient certes de l'accusée, mais a été séparée de son contexte. L'accusée voulait dire que l'on doit prendre part à des discussions et aussi emettre des positions critiques envers l'Islam glorificateur de la violence.

«Huit faits qui contredisent l'Islam»

A ce propos, on se reportera a l'ex-musulmane Arzu Toker (http://www.arzutoker.de), dont les écrits démontrent 16 raisons de quitter l'Islam.

Preuve : http://www.arzutoker.de/sechzehn_gruende.htm (Appendice ./20)

«Ne dites en aucun cas, que nous au FPÖ sommes contre l'Islam. C'est idiot politiquement, car la liberté de religion nous tombe alors dessus. N'utiliser pas le mot Islam, dirigez-vous plutôt contre la charia. Entre nous et dans votre cœur, vous pouvez naturellement être contre l'Islam. Mais pas dans la rue.»

Le cœur même de cette citation est faux. L'accusée n'a pas dit «nous au FPÖ», elle n'est même pas membre du FPÖ.

Comme la charia est une partie inséparable de l'Islam, et n'est pas conciliable avec les droits autrichiens et européens, il faut se positionner là-contre. Toute autre position serait criminelle. En cela on est autant contre l'Islam qu'on est contre la Charia.

A celà, il faut ajouter que des juristes islamiques veulent étendrent l'application de la charia aux non-croyants. Mais il ne s'agit pas seulement d'une volonté : d'après le Coran, la charia doit être appliquée aussi bien aux musulmans qu'aux non-musulmans («infidèles»), car la charia régit la vie des musulmans entre eux aussi bien qu'avec les infidèles.

Preuve : http://www.katholisches.info/?p=1298 (Appendice ./21)

Auditrice : «Il y a déjà de l'intégration et des musulmans qui peuvent penser autrement.» Réponse : «Çe serait beau. Mais réfléchissez, où se trouvera leur loyauté, lorsque ça chauffera ? Une fois Turc, toujours Turc.»

Un bon musulman, qui vit selon la loi d'Allah et selon le Coran, ne placera jamais la loyauté envers l'Etat au-dessus de la loyauté envers l'Islam. Ce n'est pas une question de préférence personnelle ; la loi islamique le demande. Les musulmans qui se sentent requis d'être loyaux envers l'Islam ont de grosses difficultés à être loyaux envers le pays dans lequel ils vivent, lorsque ce pays n'est pas islamique. Un vrai musulman croit que le monde entier est sa patrie, et que la tache lui incombe de soumettre le monde entier à l'Islam (voir Mark A. Gabriel, "Islam et Terrorisme", pages 70 et suivantes).

«Un chauffeur de taxi musulman, qui ne voulait pas laisser monter une femme, son amie et un chien.»

Cette déclaration aussi, n'est pas une découverte de l'accusée, mais l'énonciation d'un fait. Il y a d'innombrables preuves de cela. Une participante rapporta avoir vécu la même chose.

Preuve :

«Les chiens aussi sont racistes. Et aussi les meilleures hommes et femmes.»

Cette déclaration ne provient pas de l'accusée.

«Lorsque je vois un fantôme-burqa dans la rue, je sors mon téléphone portable et je le photographie secrètement.»

L'expression «fantôme-burqa» ne provient pas de l'accusée.

«Lorsque des Cardinaux violent des enfants, ils le font à l'encontre de la religion. Les religieux musulmans violent des enfants en raison de la religion.»

Cette déclaration se base sur le rôle d'exemple inamovible qu'a Mohamed pour tous les musulmans (voir plus haut) ; Mohamed consomma son mariage avec une fille de neuf ans.

«L'Europe se soumet volontairement au monde arabe»

Cette déclaration est séparée de son contexte, une discussion critique sur l'influence croissante de l'Islam sur l'Europe.

Preuve :

«Nous ne pouvons pas retirer la nationalité. Cela serait la tâche du FPÖ, si elle avait le pouvoir.»

Cette déclaration fut faite dans le cadre s'un séminaire du FPÖ, en réponse à une question du public.

L'accusée expliquait la situation légale. Il ne s'agissait pas de donner son opinion. Le mot «nous» se réfère aux citoyens autres que les élus politiques.

«D'autre part, les musulmans vont dans les forces armées avec un autre but : l'infiltration.»

Cette déclaration se base sur des recherches étayées - au moins aux USA, à la suite des attaques catastrophiques de musulmans sur le Wold Trade Center. Des faits concrets sont cités.

Preuve :

«En Allemagne, l'opéra de Mozart "Idomeneo" fut annulé, car l'on craignait des émeutes.»

Dans cette déclaration, il s'agit de faits avérés.

Preuve : http://www.focus.de/kultur/kunst/idomeneo-absage_aid_116399.html (Appendice ./29)

«Comme si un musulmans irait à cet opéra.»

Cette citation est fausse, c'est-à-dire séparée de son contexte. L'expert islamique de haut rang Yousuf Al-Qaradaqwi a décrit de façon détaillée les innombrables restrictions, qui s'appliquent à chaque fois que l'on joue de la musique (Les choses permises et interdites dans l'Islam, chapitre 3.7, "Chanson et musique", pages 416 et suivantes).

«J'ai vu une fois une femme voilée dans un concert, et je me suis alors dit qu'elle avait du se tromper.»

Comme l'accusée assiste très souvent à des opéras et des concerts, a-t-elle remarqué qu'elle n'a vu qu'une seule fois une femme voilée parmi le public.

«... le dernier Speckbrot [NDT pain gras], qu'elle s'est faite cuire par un cuisinier égyptien, pour voir à quel point il est intégré,...»

Il ne s'agit pas d'une déclaration de l'accusée. Qui plus est, cette déclaration n'est pas compréhensible.

«... la civilisation occidentale, qui au contraire de la soi-disante "civilisation arabe", peut effectivement être appelée ainsi»

Ce n'est pas une déclaration de l'accusée.

«Celle-ci est en effet menacée par le "Djihad secret", qui s'efforce par des moyens non-violents de faire croître l'Islam en Europe.»

Pour des gens s'intéressant à la politique internationale, le terme "Djihad secret" signifie, comparées au reste de la population, la haute natalité et la large immigration des musulmans, comme instrument d'expansion de l'Islam en Europe et dans d'autre pays non-islamiques (voir aussi le livre "Le Djihad secret : comment l'Islam radical subvertit l'Amérique sans armes ni bombes" de Robert Spencer").

Preuve : http://97.74.65.51/readArticle.aspx?ARTID=33268 (Appendice ./30)

«L'Islam de la démographie, l'Islam de l'immigration, l'Islam de l'amour»

Ces mots-clés ne sont pas l'invention de l'accusée, mais des concepts modernes de rapports politiques actuels et sérieux. Ces mots-clés font partie de la terminologie de chercheurs reconnus mondialement à propos du phénomène de l'expansion de l'Islam dans des pays non-islamiques.

Preuve :

«Les jeunes hommes musulmans font en sorte que des jeunes filles non-musulmanes tombent amoureuses d'eux, dans le seul but de les convertir.»

Ceci est l'une des définitions du "Djihad de l'amour". La formulation de ce concept montre d'une part, à quel point ce sujet est problématique - en particulier dans les pays ayant une plus forte proportion de musulmans qu'en Autriche - et d'autre part, à quel point l'on s'occupe, ou l'on devrait s'occuper, de ce sujet de façon internationale, scientifique et statistique, pendant qu'en Autriche, dans le meilleur des cas rien ne puisse être dit à ce sujet, sans quoi l'on risque d'être poursuivi comme un grand criminel. Voir les liens suivants à propos du "Djihad de l'amour" ou "Love-Jihad" :

Preuve :

«La liberté d'opinion est en danger. Qui d'entre vous se risquerait à aller dans la rue et à crier : "L'Islam est de la merde" ?»

Cette citation est exacte, mais séparée de son contexte. L'accusée a volontairement choisi ces mots, pour montrer au moyen d'un exemple extrême, où en sont les choses concernant la liberté d'opinion.

Le but était de montrer qu'il ne serait pas possible de faire une telle déclaration sans devoir en affronter les conséquences. L'accusée a au même moment mentionné, que naturellement aucune personne de l'assemblée n'utiliserait un choix de mots d'une telle inconvenance.

«Une statistique suit, qui montre quel pourcentage de musulmans entraîne quelle sorte de problème. "Dès que nous formons 20% de la population, il s'agit alors de meurtres, d'émeutes et d'eglises brûlées entièrement. Cela est imminent pour nous tous."»

Cette déclaration cite les résultats des recherche du Dr. Peter Hammond, un théologue africain, qui fut actif dans plusieurs zones de crises d'Afrique. Il a relaté son expérience et ses recherches dans son livre "Esclavage, terrorisme et Islam : les racines historiques d'une crise contemporaine".

Preuve : http://97.74.65.51/readArticle.aspx?ARTID=30675 (Appendice ./38)

Des preuves de l'orientation discriminante et agressive de l'Islam se trouvent aussi sur http://www.amazon.com/Slavery-Terrorism-Islam-Historical-Contemporary/dp/0958454981

«Au Danemark, il y a Dieu merci les Hell's Angels»

Cette déclaration est le résultat d'un rapport sur les Hell's Angels du Danemark

Preuve : http://gatesofvienna.blogspot.com/2009/07/what-if-hells-angels-are-right.html (Appendice ./39)

«Nous devons choisir des partis qui s'opposent ouvertement à l'immigration islamique, qui n'ont pas peur d'appeler les choses par leur nom. Nous devons voter H.C. Strache.»

La reproduction de cette déclaration de l'accusée est incomplète dans ce contexte. Bien plus correcte est la déclaration suivante : «Il ne nous reste plus rien d'autre que de voter H.C. Strache, puisque les autres partis ne manifestent aucun intérêt pour ces problèmes.»

... une amie spéciale, notre grande, blonde ex-ministre des Affaires Etrangères, qui est un porte-voix de la Palestine»

Il s'agissait de Dr. Ursula Plassnik qui, en tant que ministre des Affaires Etrangères du cabinet Schüssel, a excellé dans la défense de la cause palestinienne.

Preuve :

«Il est important que nous fassions tout notre possible pour lutter contre cet état des choses. Nous ne devons pas nous laisser museler. Tout ce que je dis sera estampillé comme islamophobie, xénophobie ou incitation à la haine. Je ne prends pas de telles accusations au sérieux.»

Dans cette déclaration, l'accusée parlait de la politique "moderne", qui dans ses manifestations extérieures s'efforce d'abord de s'indigner et de marginaliser. Plus l'on se montre au cœur de la vérité et solidaire avec les perceptions de la polulation votante, plus l'on se fait clouer au pilori par les politiques qui refusent d'accepter la réalité, leurs partis et les médias.

L'accusée engageait l'assistance à exprimer son opinion, lorsqu'elle rencontre une opposition qui discrédite des personnes en les accusant de mépriser l'humanité.

«Si la directive anti-discrimination passe, des groupes tels que le nôtre ne pourront plus se dresser, et il en sera fini de déclarations telles que l'"Islam-de-merde".»

L'accusée n'a pas fait cette déclaration.

En revanche, voici un lien qui montre combien le Coran invite à se comporter de façon discriminante, raciste et xénophobe.

Preuve : http://www.eussner.net/artikel_2007-12-19_18-02-08.html (Appendice ./42)

«... pourquoi l'on ne doit pas commercer avec des musulmans»

Cette déclaration est fausse. La troisième partie du séminaire concernait même les finances conformes à la charia ; il ne peut donc s'agir de ne pas commercer avec les musulmans. C'est exactement le contraire : il est interdit aux musulmans de commercer avec les infidèles.

Un loi islamique fondamentale dit que «tout ce qui contribue au haram (des choses et des actes interdites par l'Islam) est soi-même haram (Al-Qaradawi, page 49).»

«... et considère les musulmans et les terroristes de la même façon.»

L'accusée n'a pas fait cette déclaration.

III. Concernant l'état de fait du paragraphe 283 section 2 StGB

Naturellement, le paragraphe 283 section 2 StGB doit être interprété de façon conforme à la constitution (Wiederin, néo-nazisme, droit de vote et limites d'une interprétation conformes à la constitution, EuGRZ 1987, 137), ainsi qu'en particulier à la lumière de l'article 10 de la CDH.

L'incitation à la haine présuppose un comportement tendant à inciter à la haine et au mépris [NDT références legales données].

L'incitation est définie de la façon suivante : lorsque l'on éveille de façon passionnée chez les autres des émotions (Hinterhofer, SbgK § 283 Rz 19), qui sont privées du contrôle rationnel et amènent doncl'un d'entre eux à se décider à faire une infraction (Plöchl, WK2 § 283 Rz 13).

Lors de sa conférence, l'accusée employa des mots certes acérés, mais qui se basaient sur des faits et des recherches exhaustives concernant l'Islam et les problèmes qui découlent d'une mise en application des règles inscrites dans le Coran. L'accusée s'est conformée aux faits, et a constamment, minutieusement documenté toutes ses affirmations. Elle n'a donc pas fait preuve d'un comportement "passionné" - dans le sens d'une non-conformité aux faits, conditionnée par des émotions. Ce constat seul invalide l'état de fait.

De plus, l'accusée n'a ni exhorté l'assistance à l'infraction, ni incité à la haine ou au mépris.

En dehors du fait que l'accusée n'ait insulté ni blessé qui que ce soit, elle ne s'est jamais efforcée de pousser son public à des sentiments de haine. Bien au contraire : pendant sa présentation, lorsqu'elle eu discussion avec le public, l'accusée exhorta systématiquement à rester pondéré et à se conformer aux faits, et elle attacha une grande importance à attacher constamment son analyse critique à l'Islam en tant qu'enseignement et idéologie, mais jamais aux musulmans.

La partie II ci-dessus a demontré que l'accusée n'a pas présenté l'Islam de façon mensongère, mais plutôt en se basant exclusivement sur des faits. Or, communiquer des faits avérés est permis sans contrainte (voire la partie I).

Une atteinte à la dignité humaine n'a lieu que lorsque les membres du groupe concerné sont atteints au cœur inaliénable de leur personalité (Hinterhofer, SbgK § 283 Rz 28).

Il n'y eu donc pas la "dénigration" revendiquée, que ce soit par la description des membres d'un groupe comme étant inférieurs, ou de quelque manière semblable. Bien au contraire : l'intégralité des déclarations de l'accusée sont vérifiables. Que certains examples présentés par l'accusée soient embarassants, désagréables pour les membres du groupe religieux islamique, ou que ces derniers perçoivent les exemples comme dégradants, ce n'est pas la faute de l'accusée, mais il en incombe aux faits eux-mêmes. L'accusée n'a fait que citer les faits.

Quand bien même l'on accepterait la partie objective de l'état de faits, il manque la partie subjective, qui est pourtant requise pour prouver qu'une incitation à la haine a eu lieu, et présuppose qu'il soit possible que l'accusée ait appelée à la haine et au mépris ([NDT références juridiques]).

Le mépris consister à dénigrer émotionnellement, étant convaincu de l'absence de valeur des personnes ou institutions concernées. D'après l'Encyclopédie de Meyers de 1905, «Le mépris est le sentiment, que l'absence de valeur personnelle provient de soi-même (mépris pour soi-même) ou des autres (mépris pour les autres).»

La haine est une émotion humaine d'antipathie forte et persistante. A cause de son côté émotionnel intensemment négatif, le concept de haine en général indique la forme la plus forte du rejet, du mépris et de l'aversion.

Pour l'accusée, le but de sa présentation était exclusivement d'expliquer et d'avertir des changements menaçants et destructeurs concernant des valeurs aussi fondamentales que la démocratie, le pluralisme, la liberté d'opinion, l'égalité entre hommes et femmes, etc., dans le cas où l'islamisation de l'Autriche et de l'Europe ne sont pas contrées par un discours politique.

L'intention de l'accusée n'était ni de causer un sentiment d'être méprisé, ni de montrer une aversion pour les membres de la communauté islamique ou pour l'Islam en tant que tel.L'accusée voulait et veut seulement expliquer et avertir, par le biais de mots forts.

Quant aux autres possibilités valider le paragraphe 283 section 2 StGB, l'injure et le fait de rendre méprisable, il manque tout aussi bien la preuve objective, en particulier l'atteinte à la dignité humaine.

Pour finir, insistons à nouveau sur l'article 10 de la CDH, qui protège aussi, justemant, les déclarations qui blessent, choquent ou dérangent. Bien sûr, on peut toujours chanter les louanges d'un régime au pouvoir ou d'une opinion dominante ; pour cela, personne n'a besoin d'un droit fondamental de liberté d'expression.

Enfin : «Réduire une discussion au silence présuppose l'infaillibilité» (John Stuart Mill, De la liberté [1869]).

Elisabeth Sabaditsch-Wolff, MA